Quelques phrases

Publié le par Carole Gouyé

La dignité:

Nous n'avons pas le monopole de la dignité mais nous prétendons êtres seuls à pouvoir juger de la nôtre.

La liberté:

Nous soutiendrons tous ceux qui veulent vivre (serait-ce dans des conditions que nous n’accepterons pas pour nous-mêmes).

Mais nous leur demandons de ne pas nous empêcher de partir au nom de leurs principes que nous ne partageons pas.

Choisir ou subir, je veux choisir.

Je ne veux pas être la victime expiatoire offert au dieu de la souffrance

Nous qui avons su nous entourer légalement d'assurance et de garantie pour veiller à la qualité de notre vie, pourquoi laisserions-nous le hasard présider à la qualité de notre mort?

Accompagner (une fin de vie) c'est accepter de suivre une personne dans la direction qu'elle veut prendre, là où elle veut aller, quand elle veut y aller et à sa manière. (un médecin québécois)

Parce que je veux vivre libre, et que ma fin de vie c'est encore ma vie, j'ai adhéré à l'ADMD.

Sans liberté je ne conçois pas la vie. Et ma liberté justifie que je milite pour elle.

Sans le respect de mon libre choix, il n'est pas de vie et mort sereines

Je milite pour une loi de liberté, pour que notre volonté soit entendue, respectée. Pour que nul ne puisse disposer de notre vie.

La mort est avant tout l’affaire de la personne qui meurt : les médecins doivent l’intégrer à leur pratique.

Nous devons pour vivre chercher l’approbation d’autrui ; pour mourir, la nôtre suffit. La mort la meilleure est celle qui nous plaît. (2) 2) Sénèque, Lettre à Lucilius, lettre LXX.

il est « licite de supprimer la douleur au moyen de narcotiques, même avec pour effet d'amoindrir la conscience et d'abréger la vie » (affirmation de Pie XII rappelée dans Evangelium Vitae, 65)

Publié dans divers

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