directives anticipées : elles sont reconnues par la loi de 2005

Publié le par Carole Gouyé

Si on ne peut écrire, des volontés détaillées, faute de réflexion suffisante, il faut au moins prendre la peine d'écrire qu’on nomme expressément une personne de confiance, au choix, médecin traitant, membre de la famille, ou ami – personne à laquelle on délègue la responsabilité de décider ce qui sera le mieux pour nous, si nous étions mourant et en état d'inconscience.

En cas de difficulté physique pour écrire, on peut le faire faire par un tiers, avec deux témoins qui signifieront l’accord.

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article